collerette
Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1956 dans l'article PRÉLUDE AUX FÊTES DE FIN D'ANNÉE : UNE ROMANCE BLONDE EN MAJEUR....
Les grands galas ayant l’Opéra pour décor, le salon de l’Elysée ou ceux d’une ambassade pour cadre seront le point de départ d’une coiffure pouvant être beaucoup plus sophistiquée, prétexte à des ornements assortis à la toilette, au jeu d’un détail de velours ou à la mise en scène d’un bijou dont la préciosité, de façon imprévue… nous monte à la tête : clips, bracelet posé en diadème, pendentif à la Ferronnière, collerette-collier en cache-nuque… Une dernière note concernant les nuances : l’hiver les coloris plus chauds sont à la mode, ils flamboient sous l’éclat des lustres, vibrent le jour dans l’ambiance grise des décembres parisiens ou l’éclatante blancheur des janviers à haute altitude, ils s’harmonisent enfin avec les tons fauves des fourrures, les blonds dorés des visons qu’on dit sauvages (et qui sont si civilisés) ou avec ce ton très à la mode de certains visons d’élevage, nommé Autumn-Haze, nom qui est tout un programme coloré pour nos chevelures.
Un e autre apparition
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