colero
Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1977 dans l'article Des lézardes dans la façade démocratique, par Bernard Cassen.
C’est devant l’ambassade des Etats-Unis que les prix sont les plus élevés : l’attente pour la délivrance d’un visa peut en effet durer quarante-huit heures, ce qui vaudra au colero une rétribution de 200 à 300 pesos (1).