coinvestissement

Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 1988 dans l'article Continuités et ruptures des politiques de coopération, par Alain Ruellan.

Michel Aurillac affirma sa volonté de développer l’appui de son ministère aux entreprises françaises, principalement aux petites et moyennes qui investissaient dans les pays du tiers-monde dans une optique de coopération, parlant de codéveloppement, puis de coinvestissement : en fait, l’objectif implicite fut surtout l’implantation d’industries françaises en Afrique.