cofibel
Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 1994 dans l'article La politique pervertie par les milieux d'affaires, par Christian de Brie.
Par l’intermédiaire de filiales off-shore (5) : SHL aux Bermudes, Paramer en Suisse, Tramico et Mitraco au Panama, noms et lieux où le plus mauvais limier flaire déjà l’escroquerie, le groupe Schneider aurait discrètement siphonné une bonne partie de l’actif (à hauteur de 300 à 500 millions de francs français) de deux filiales belges, COFIBEL et COFIMINES, avant de lancer une OPA peu coûteuse sur le reste des titres, lésant les petits actionnaires laissés dans l’ignorance.