codantes

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 2010 dans l'article Et maintenant, fabriquer de la matière vivante, par Dorothée Benoit Browaeys.

» Pratiquée par plus de dix mille laboratoires dans le monde, la discipline est devenue possible du fait que l’on sait maintenant synthétiser rapidement, et pour vingt fois moins cher qu’en 2000, soit 35 centimes d’euros la paire de bases, des séquences codantes d’ADN, et que la puissance de l’informatique permet de disséquer et de concevoir des systèmes vivants.