co-gouvernement
Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 1990 dans l'article Trêve oecuménique en Grèce, par Françoise Arvanitis.
Cette analyse développée par l’intelligentsia progressiste ne pèche que sur un point : tandis que le PASOK, puni certes en juin de ses dérives scandaleuses, se maintenait à 39,5 % des suffrages, pour remonter ensuite aux élections de novembre à près de 41 %, la coalition communiste chutait au contraire de 13 % en juin à 11 % en novembre — sanction d’une expérience de co-gouvernement avec la droite décidée par les dirigeants du parti.