ciné-cadre

Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 1992 dans l'article Mon théâtre, mes films, qu'est-ce que c'est ?, par Armand Gatti.

Depuis, trois autres expériences : le Combat du jour et de la nuit à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis (1789 en 1989 à l’intérieur d’une centrale pénitentiaire) ; le Ciné-Cadre de l’esplanade Loreto, menée à Marseille avec des exclus des quartiers nord de la ville (le langage fasciste) et ces Empereurs aux ombrelles trouées que nous avons jouée au cœur cette fois d’un espace culturel — le Festival d’Avigon — avec des jeunes des banlieues de la ville, chômeurs marginalisés ou handicapés (6).