chefaillonnes
Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 2011 dans l'article Enfermées, vivantes, par Cathy Fourez.
Quand le reflet de soi est associé à des murs qui ont la couleur sépulcrale du tombeau et entre lesquels il est difficile de se concilier le sommeil, harcelée que l’on est par les hurlements de la dépression, les querelles entre codétenues et les injonctions sifflées par les chefaillonnes, on ne peut être qu’à l’écart du monde.