charisma
Première apparition dans le Monde Diplomatique en juillet 2002 dans l'article La fronde des films étrangers en France, par Philippe Lafosse.
Trois ans plus tard, on n’a pas oublié les courtisanes et l’envoûtement des Fleurs de Shanghaï (Hou Hsiao-hsien, Taïwan, 1998) ; la pluie, la noirceur et la solitude de The Hole (Tsai Ming-liang, Taïwan, 1997), ni la langueur et la sensibilité de In the Mood for Love (Wong Kar-wai, Hongkong, 2000) ; l’étrangeté, l’altérité et l’inquiétante fuite du vivant de Charisma (Kiyoshi Kurosawa, Japon, 1999), ni la vision fantastique, débridée et apaisée à la fois, du désir et de la jouissance de De l’eau tiède sous un pont rouge (Shohei Imamura, Japon, 2001) ; ni la subtilité, la sobriété et la profondeur de L’Orphelin d’Anyang (Wang Chao, Chine, 2001) (3).