certas
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 2002 dans l'article Les universités nigérianes en déshérence, par Jean-Christophe Servant.
Sous les auspices des fondations Ford et Rockefeller et de l’université du Wisconsin, l’OAU — qui aimait à se présenter comme une « université du peuple pour le peuple » — brillait du continent noir jusqu’aux Etats-Unis, par l’entremise de ses centres de recherche, tels le Certas (8).