centavo
Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1979 dans l'article Un précédent inquiétant pour les autres dictatures ?, par Bernard Cassen.
La camarilla somoziste s’est enfuie en exil en emportant le dernier centavo disponible, et la dette extérieure atteint près de 2 milliards de dollars, dont la majorité est, à court terme, contractée auprès de banques privées à des taux d’intérêts très élevés (son service annuel est estimé à plus de 300 millions de dollars, alors que l’on estimait que les exportations agricoles — fournissant les deux tiers de devises — auraient normalement dû en rapporter 700).