carrar
Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1997 dans l'article Les écrivains et la guerre d'Espagne, par Emilio Sanz De Soto.
Lui- même s’immole, non sans avant avoir absous tous ses compagnons, puisque ce pouvoir lui a été donné par Dieu… L’apport des lettres allemandes comprend aussi, bien entendu, une œuvre qui, depuis la fin de la guerre, n’a pratiquement pas quitté les théâtres du monde : Die Gewehre der Frau Carrar (Les Fusils de la mère Carrar), de Bertolt Brecht.