cardinalices
Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 1995 dans l'article Fin de règne au Vatican ?, par Adrien Willemin.
L’omission de certains sièges traditionnellement cardinalices (Séville, Santiago, San-Salvador, Saint-Louis) ou de présidents de conférences épiscopales (l’Allemand Karl Lehmann, le Brésilien De Almeida) pourrait indiquer un « blâme » du pape pour des prises de position jugées trop « progressistes ».