calzonzin
Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 1974 dans l'article Des promesses pas toujours tenues, par Louis Marcorelles.
A coups de subventions généreuses, le pouvoir en place a permis à Ripstein de tourner te Château de la pureté (1973), El Santo Officio (1974), opérations de prestige du régime, brillamment conduites par un cinéaste de talent ; à Cazals de devenir le chantre patenté de l’histoire mexicaine ; au comédient Alfonso Arau, un temps fixé à Cuba, également interprète de Sam Peckinpah, de réaliser la superproduction Calzonzin inspector, d’après la pièce de Gogol, le Revizor.