céphalique
Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 1987 dans l'article Vivre en apesanteur ?, par René Bost.
Elles se traduisent par une redistribution de la masse sanguine vers la partie supérieure du corps et une absence de stimulation des capteurs de gravité qui provoquent une congestion céphalique, des sensations de malaise, des états nauséeux, une perte calcique, sans conséquences pathologiques toutefois pour des vols courts.