cépaliens

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1980 dans l'article Une doctrine économique cohérente pour l'Amérique latine, par Alain Rouquié.

Mais les « cépaliens » ne se contentent pas de célébrer le passé et de déplorer leur actuelle déroute : leur diagnostic du présent, leurs propositions audacieuses pour l’avenir prouvent la fertilité de ces théoriciens, qui n’ont pas fini de pourfendre le « miltonisme anachronique », comme le fondateur et le maître à penser de la CEPAL, Raul Prebisch, désigne ironiquement non le poète de Paradise Lost, mais le néo-classique de Chicago.