célébrationnelle

Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 2004 dans l'article Tant que l’Afrique écrira, l’Afrique vivra, par Tirthankar Chanda.

Ainsi, le même souci d’exprimer la réalité des peuples noirs caractérise l’œuvre « célébrationnelle » des poètes de la négritude (Léopold Sédar Senghor ou Aimé Césaire) comme la fiction postcoloniale africaine des premières années de l’indépendance, dans les pages desquelles s’étalent les mille maux de l’Afrique contemporaine.