câpriers

Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 2021 dans l'article « Il n’y a que des faux-culs et des vendus qui veulent te palper », par Thierry Brésillon.

Cette extension de la capitale — dans une région où abondaient les câpriers auxquels le quartier doit son nom — a été entreprise en 1955, quelques mois avant l’indépendance, pour reloger les « indésirables », les paysans et les Bédouins chassés des campagnes par les spoliations coloniales et par la terrible crise économique et agraire des années 1930.