bwa

Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1995 dans l'article Jeunes, l'angoisse d'une vie tronquée, par André Lucrèce.

Cette chanson, créée par le jeune groupe de zouk Taxi Créole, qui met en scène l’usure du discours, eut un tel succès que la population fit de son personnage principal le bwa-bwa du Carnaval, c’est-à-dire celui qui est promené pendant toute la durée de la fête, raillé, moqué et finalement brûlé symboliquement le jour des Cendres.