brunete

Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1981 dans l'article Une démocratie écartelée, par Ignacio Ramonet.

Alerté enfin, preuves à l’appui, de l’ampleur de cette conjuration militaire et de l’imminence d’une tentative de putsch, le gouvernement réagit avec une vigueur modérée et avec la plus grande discrétion (aucune information ne filtre dans la presse) ; il multiplie les mutations (le général Milans del Bosch, par exemple, est relevé de son poste de commandant de la division d’élite Brunete), procède à des mises à la réserve anticipées et, surtout, accélère la promotion d’officiers loyaux (notamment les généraux Gabeiras — qui devient chef de l’état-major de l’armée et qui, à ce titre, a été l’un des artisans du contre-coup d’Etat du 23 février, — Quintana Laccaci, qui commande la région militaire de Madrid et dont la fidélité a été précieuse ce 23 février, et Pascual Galmes, qui remplace d’abord Milans del Bosch à la tête de la Brunete puis devient chef de l’importante région militaire de Barcelone, où il se trouvait le 23 février).

Quatre autres apparitions

D'autres articles du Monde Diplomatique qui contiennent ce mot :

  1. Redéploiement militaire dans la péninsule ibérique, par Alain Echegut
  2. Les écrivains et la guerre d'Espagne, par Emilio Sanz De Soto
  3. Des camps pour les républicains espagnols, par Denis Fernandez Recatala
  4. Ces Espagnols qui ont libéré Paris, par Denis Fernandez Recatala