browniennes
Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 1976 dans l'article La gauche portugaise victime de ses contradictions, par Eduardo Lourenço.
Déconcertée par les soubresauts et les cohérences quelque peu browniennes de ce mouvement, une certaine presse étrangère s’est complue à peindre la révolution portugaise aux couleurs plus ou moins flatteuses d’un surréalisme ou d’un dadaïsme politiques.