boulier
Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 1974 dans l'article L'école chinoise, un instrument de l'action révolutionnaire, par Arlette Laduguie.
Les cours de « connaissances de base industrielles » (comprenant physique et chimie), de « connaissances agricoles » (y compris les sciences naturelles) et d’éducation physique (assimilée à l’instruction militaire), ont chacun droit à deux heures par semaine ; – Viennent ensuite six cours de langue chinoise où on perfectionne l’écriture et la lecture à l’aide de textes politiques ; à la fin des études secondaires, les élèves devraient pouvoir maîtriser les deux mille à trois mille caractères de base nécessaires à la lecture d’un journal ; – Suivant les écoles, cinq à six cours sont consacrés aux mathématiques ; l’algèbre, la géométrie et la trigonométrie y figurent, mais aussi la comptabilité et le maniement du « boulier » chinois, cadre de bois qui enserre deux rangées de boules, sur lequel on peut faire des opérations de calcul.
Trois autres apparitions
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