bostanci

Première apparition dans le Monde Diplomatique en juillet 2016 dans l'article La sale guerre du président Erdoğan, par Laura-Maï Gaveriaux.

Lorsqu’on pénètre dans la cave de la rue Bostanci, encore accessible le 24 mars, l’odeur des corps brûlés persiste dans l’atmosphère confinée ; l’air est irrespirable.