bon-hommes
Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 1974 dans l'article Franz Joseph Roeder : mieux qu'une « carrière à Bonn », par Paul-Jean Franceschini.
« Mon travail est ici, assure-t-il, je n’ai jamais envisagé une seconde de passer à ce que certains appellent à tort le plan supérieur… » » Aucun homme politique allemand n’a d’ailleurs réussi à se maintenir aussi longtemps au pouvoir que cet ancien principal de collège aux allures bourgeoises et bon-hommes, dont l’affabilité et la rondeur dissimulent une autorité parfois tyrannique au dire de ses adversaires.