boaventura

Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 2011 dans l'article Une refondation politique et culturelle, par Giovanni Allegretti.

Pour expliquer ce mouvement, les politologues brésilien et portugais Leonardo Avritzer et Boaventura de Sousa Santos ont analysé le cercle vicieux dans lequel sont enfermées les démocraties modernes : la méfiance que suscite le comportement des instances représentatives provoque un désintérêt pour la participation active, considérée comme « sans influence » et incapable de transformer la gestion publique (2).