beyglic
Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 1956 dans l'article Sous le ténébreux Soliman-Aga se cachait un gentilhomme français, par G. D. Makrinitsas.
C’est le récit d’un gentilhomme français au service de l’empereur, pris en Hongrie par les Turcs, vendu dans la Romélie, adopté par un cadi, s’emparant de sa succession et achetant, grâce à elle, un timar et ensuite un « beyglic », protégé par Morad-pacha, beglerbey de Homélie, dont il finit par épouser la fille à Constantinople, Morad-pacha étant nommé grand vizir.