bergamin
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1985 dans l'article Un pays à reconstruire, par Françoise Barthélémy.
Cette ville, où naquirent des poètes subtils et tendres tels que Jules Laforgue ou Jules Supervielle, et avec qui l’écrivain José Bergamin, fuyant le franquisme, tissa des liens étroits, n’est plus que l’ombre du port opulent qu’elle fut naguère lorsqu’elle s’enrichissait du commerce de la viande, de la laine et du cuir.