benavidès

Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 1997 dans l'article Le grand virage des zapatistes, par Maurice Najman.

Javier Elorriaga et Mme Gloria Benavidès (1) avaient reçu du « sous-commandant » Marcos et du Comité clandestin révolutionnaire indigène (CCRI) (2) un mandat politique précis : afin de desserrer l’étau de l’armée mexicaine, briser l’isolement et « offrir un peu d’oxygène » à un mouvement ghettoïsé dans les montagnes et les forêts du Chiapas, il fallait entamer un dialogue politique direct avec les « grandes forces politiques et syndicales » du monde.