beitsheam

Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1975 dans l'article Terreur, fantasia et... Palestiniens, par Marie-Françoise Allain.

Le culte du retour se justifie par la quotidienneté même de la vie sur ce sol pierreux recouvert de myrte et de gras épineux ; il représente tout ce que possèdent encore les réfugiés des camps, loin des « délices de la côte, de Haïfa et sa fière colline, Beitsheam, ses moissons et ses vergers… ».