bec-de-canard

Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 1970 dans l'article Les troupes américaines et sud-vietnamiennes se heurtent à une résistance inattendue de la part des paysans cambodgiens, par Jacques Decornoy.

Ce n’est plus dans la jungle de la province de Ratanakiri ou dans les régions riches et peuplées du Bec-de-Canard, ou dans les plantations d’hévéas de l’Hameçon qu’il faut aller « chercher et détruire le Vietcong », mais dans tout le Cambodge, et jusqu’au pied de ce symbole de l’empire khmer, le temple d’Angkor-Vat.