batneya
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1984 dans l'article Ecrans témoins, par Marie-Christine Aulas.
Il a ensuite été associé, plus ou moins directement, aux multiples difficultés économiques et sociales sur lesquelles le cinéma égyptien a mis l’accent ces dernières années : la crise du logement, dans Un appartement au centre ville, de Mohamed Fadel, ou dans Un étranger dans ma maison, de Samir Seif ; la drogue, dans Al Batneya, de Hossam Eddine Mustafa ; l’irrésistible ascension sociale de certains appartenant aux couches parasitaires ( les Chats gras, de Hussein Youssef), ou d’un petit contrebandier de la zone franche de Port-Saïd ( les Gens d’en haut, de Aly Badrakhan), etc.