batha
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1970 dans l'article Une architecture musulmane originale mais fortement influencée par la tradition andalouse à partir du XIe siècle, par L. Golvin.
L’Aguedal, la Menara… aux vastes pièces d’eau bordées de pavillons charmants où marbres, stucs, carreaux émaillés, plafonds sculptés, font vibrer 9a lumière, reflet des eaux tranquilles, des fleurs multicolores où tranchent le rouge des bougainvillées, les nuances les plus diverses des roses, la pâleur des jasmins, séjours de rêve et de repos… Il faudrait citer toutes les villes du Maroc pour évoquer en partie l’œuvre architecturale de l’actuelle dynastie : Rabat, son Méchouar, le palais des Oudaïas ; Fès, son palais royal et le Batha ; Meknès et son Dar Jamâï ; Tanger et son Méchouar, sans parler des innombrables mosquées construites ou restaurées où, souvent, se manifeste un retour aux thèmes anciens des mosquées à nefs transversales (mosquées de Lalla Aoûda et de al-Roua de Meknès, de Bâb Guissa à Fès, d’al-Sunna à Rabat, etc.
Deux autres apparitions
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