basureros

Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1991 dans l'article Le chagrin et l'effroi au Guatemala, par Maurice Lemoine.

Quelquefois, je gagne 8, 10, 15, ou 25 quetzales (1), le lendemain j’en perds 5, ou je ne gagne pas 1 centime… » Là survivent ces femmes aux traits mayas qui démarchent de maison en maison, laveuses et repasseuses à 1,50 quetzal la journée… Il y a plus mal loti encore, littéralement au cœur de la cité, sur les immondes basureros (2) de la Limonada ou de la Zona 3.