basristes
Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1976 dans l'article Le roi du Maroc utilise habilement ses atouts face a une opposition légale plus homogène, par Elsa Pingaud-Assidon.
Pour cette conquête de l’appareil d’Etat, l’opposition légale est idéologiquement plus homogène que naguère : la fraction « populiste », favorable à l’action armée — les « basristes, du nom de leur leader, Basri, — a été décimée par la répression qu’elle a subie en 1973 et plusieurs dizaines de ses membres sont encore emprisonnés ; une partie de la nouvelle génération a quitté la gauche légale pour fonder des organisations « marxistes-léninistes » clandestines ; l’articulation entre le principal syndicat, l’Union marocaine du travail (U.