bas-guadalquivir
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1988 dans l'article L'espoir déçu des paysans andalous, par François de Ravignan.
De plus, un commerce occulte des jours de travail s’est instauré, rendu possible par le fait que ce sont les propriétaires qui les comptabilisent officiellement ; certains d’entre eux inscrivent donc des jours de travail fictifs pour lesquels ils paient 130 pesetas de part patronale à l’organisme d’assurance-chômage ; ils les revendent 200 pesetas aux journaliers… Le gouvernement préfère « acheter la paix sociale », plutôt que de risquer un affrontement avec les propriétaires Enfin la colonisation des terres vierges dans la plaine du Bas-Guadalquivir a éveillé de faux espoirs.