bartarigo

Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1955 dans l'article A Constantinople la vénalité était la plaie de l'empire turc, par Constantin Antoniade.

Il n’était jamais oisif, note Daniele Bartarigo (rapport de 1564) : il devait d’abord prendre soin qu’on ne fît aucun tort aux marchands ses compatriotes ; ensuite donner audience à tous les sujets vénitiens, s’entretenir avec ceux qui pouvaient l’informer sur ce qui se passait, aller négocier avec les pachas et vizirs les plus importants.