barcarena

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 2018 dans l'article Retour de la violence politique au Brésil, par Anne Vigna.

À Barcarena, l’association Cainquiama a dénoncé à de multiples reprises les rejets de déchets toxiques pratiqués par la multinationale minière Norsk Hydro, présente dans quarante pays et détenue à 34,3 % par l’État norvégien.