bakiren

Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 2000 dans l'article Malaise dans la culture marocaine, par Adil Hajji.

Elle s’est enrichie, ces dernières années, de plusieurs courts-métrages plus qu’honorables (ceux de Noureddine Lakhmari et de Myriam Bakiren en particulier) et de longs-métrages de qualité inégale dont certains, primés au Maroc ou à l’étranger (ceux de Farida Benlyazid et de Nabyl Ayouch notamment), semblent augurer d’un cinéma techniquement adulte et artistiquement plus achevé.