bakchiche
Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 1973 dans l'article « Argent noir » et circuits parallèles aggravent les difficultés, par Renée Isar.
A tous les échelons de l’administration, le « bakchiche » (que les Indiens appellent « l’argent de turban ») est devenu monnaie courante : et on ne verse plus seulement des pots-de-vin pour obtenir des traitements de faveur, mais pour les services les plus routiniers : pour obtenir une carte de lait (le lait est rationné), pour inscrire un enfant à l’école, acheter un billet de train de troisième classe, acheter un scooter, etc.