avirons
Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1987 dans l'article Mon père, par Helga Schubert.
Mais je vis avec lui, avec ses jugements, sa façon enfantine de parler, ses photos, sa myopie, sa joue balafrée, ses pantalons trop larges, ses avirons dans les mains, sa tendresse, son humour, sa nature équilibrée, son rayonnement, son pas balancé, ses premières amies, l’arrogance qu’on lui prêtait, ses cheveux blond bouclés quand il avait trois ans, sa chevalière sertie d’une topaze que l’on fit transformer pour mon doigt.
Deux autres apparitions
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