avant-thermidor

Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 2002 dans l'article Des savants parfois schizophrènes, par André Bellon.

En séparant, de façon définitive, au cours de la Révolution française, le camp du bien (l’après-Thermidor, caractérisé par la remise au pas du peuple) et le camp du mal (l’avant-Thermidor, marqué par les débordements populaires), cette vision masque le rôle global de la science au cours de cette période.