autogestions
Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 2017 dans l'article Au Chiapas, la révolution s’obstine, par François Cusset.
Car s’entremêlent, au Mexique, à la fois des corporatismes officiels (surtout celui du parti-État, le PRI), maniant mobilisation permanente et rhétorique de la justice sociale, et maints soulèvements authentiques, que leur répression sanglante ancre dans la mémoire collective : résistances urbaines de la fin du XXe siècle, comme le Mouvement urbain populaire ou les assemblées de quartier des années 1970-1980, étudiants maoïstes établis dans les campagnes, autogestions municipales plus ou moins en rupture.