autoentreprise

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 2017 dans l'article De l’information au piège à clics, par Sophie Eustache & Jessica Trochet.

» Selon le collectif Génération précaire, l’entreprise faisait appel en 2014, « en plus de ses soixante-douze salariés, à soixante free-lances en autoentreprise et à trente stagiaires (3) ».