auriat
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1992 dans l'article Radioactivité « naturelle » et déchets nucléaires, par Martine Deguillaume.
En France, le gouvernement a dû imposer un moratoire sur le choix du site d’enfouissement définitif des déchets à haute activité après qu’une opposition radicale s’est manifestée, notamment sur le site des Deux-Sèvres, et à Auriat, dans la Creuse, où les installations de recherche sur l’enfouissement définitif ont été détruites par les personnes hostiles au projet.