atrophient

Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 2015 dans l'article La résistible dérive oligarchique des partis, par Antoine Schwartz.

La critique de Michels est sans ambages : « A mesure qu’augmente son besoin de tranquillité, ses griffes révolutionnaires s’atrophient, il devient un parti bravement conservateur qui continue (l’effet survivant à la cause) à se servir de sa terminologie révolutionnaire, mais qui dans la pratique ne remplit pas d’autre fonction que celle d’un parti d’opposition.