aspirais

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 2016 dans l'article Où va donc la colère ?, par Georges Didi-Huberman.

Je me levais à cinq ou quatre heures du matin, je me couchais à deux heures, restant sur pied toute la journée, allant à toutes les assemblées, réunions, clubs, cortèges, promenades ou démonstrations ; en un mot, j’aspirais par tous mes sens et par tous mes pores l’ivresse de l’atmosphère révolutionnaire.