aruna
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1981 dans l'article Bombay : Du sang, de la musique et des larmes, par Connie Haham.
Cette façon d’exprimer l’émotion, les larmes qui ne coulent pas, se trouve aussi dans la littérature indienne : « Aruna sait que son père comprend sa peine ; parfois elle vient s’asseoir à mes pieds sur un petit tabouret de rotin, sans dire un mot, mais avec dans les yeux des larmes qui ne coulent pas.