armado

Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1979 dans l'article Nicaragua : une « modération » radicale , par Régis Debray.

Daniel Ortega, qui symbolise lui-même cette fusion du politique et du militaire en siégeant à la fois à la junte de gouvernement (cinq membres) et à la direction nationale du Front (neuf membres), ouvre et clôture ses allocutions sur deux slogans enchaînés, dont le premier servit de devise aux Chiliens de l’Unité populaire et le second aux guérilleros de partout : « El pueblo unido jamas sera vencido » et « El pueblo armado jamas sera aplastado » (écrasé).