aristotéliciennes

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 2012 dans l'article Le chat de Felipe González, par Luis Sepúlveda.

Peut-être la meilleure preuve de l’infirmité intellectuelle des dirigeants espagnols réside-t-elle dans leur incapacité à comprendre que le récit d’une société doit suivre les règles dramaturgiques aristotéliciennes, c’est-à-dire une progression en trois temps : d’abord l’exposé, puis le climax, et enfin le dénouement.