arakanaises
Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1983 dans l'article La voie chinoise des rébellions, par André Boucaud & Louis Boucaud.
La révolte des minorités môns, karens, karennies et arakanaises, partie des régions frontalières, se compliquait d’une insurrection communiste elle-même divisée en deux tendances, le Drapeau rouge trotskiste, soutenu par Moscou, et le Drapeau blanc, soutenu par la Chine.